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le triangle des bermudes

Le Triangle des Bermudes est une zone de l’océan Atlantique qui serait le théâtre d’un grand nombre de disparitions de navires et d’aéronefs. De nombreuses légendes existent à propos de cette zone. Cette zone géographique, située entre 30° et 40° Nord de longitude, s'étend sur 3,9 millions de Km². Le triangle des Bermudes contient 150 petites îles situées à l'Est de la côte américaine dans l'océan Atlantique.

La zone triangulaire d'une superficie de 4 millions de km2 délimitée par l’archipel des Bermudes, la côte est de la Floride et l’île de Porto Rico, surnommée aussi le « Triangle du Diable », serait le lieu de mystérieuses disparitions de navires et d'avions depuis le XIXe siècle, bien que des auteurs fassent remonter l'origine du mystère à l'époque de Christophe Colomb. Inspirée par plusieurs articles publiés dans divers magazines dans les années 1950, l'appellation « Triangle des Bermudes » est forgée par le journaliste américain Vincent Gaddis dans un article du magazine Argosy de février 1964 : « The Deadly Bermuda Triangle ».

Pour expliquer les mystérieuses disparitions, certains auteurs évoquent les extraterrestres, l'influence de l'Atlantide, une distorsion spatio-temporelle ou des champs magnétiques surnaturels tandis que d'autres optent pour des perturbations climatiques, des réactions physiques ou chimiques naturelles liées à l'environnement de ce secteur (par exemple la remontée en surface d'hydrate de méthane) ou encore des défaillances humaines.

 

Une étrange lumière
entre la Floride et les Bahamas

Le 26 juin 2001, Paul Vance naviguait sur son voilier avec un ami dans le secteur du triangle des Bermudes. Il vécut un phénomène qu’il n’est pas près d’oublier. Son témoignage est le plus récent que l’on connaisse.

Ce soir du 26 juin 2001, Paul Vance quitta West Palm Beach (Floride) avec son voilier de 8 mètres (le « Rare Form »), à destination de West End (Bahamas). Une vingtaine de kilomètres au large, Paul leva le regard vers le ciel et aperçut quelque chose d’étrange : il vit une petite lumière blanche dans le ciel (entre 1000 et 2000 mètres d’altitude). Il supposa d’abord qu’il s’agissait d’un avion, bien que la lumière n’était vraiment pas très forte. Puis la lumière descendit, et Paul pensa alors à un hélicoptère. La lumière se retrouva ensuite entouré d’un léger brouillard tournant, puis descendit lentement dedans. Le brouillard se mit à s’éclairer puis se dissipa et la lumière disparut. Le ciel redevint ensuite clair.

Paul raconta qu’il avait l’impression que la lumière attendait la formation du brouillard en dessous d’elle, pour pouvoir, une fois formé, descendre dans ce tunnel et disparaître. C’est un peu comme si ce brouillard tournant était une porte.

Au moment ou Paul vit la lumière, le moteur perdit de la puissance. Il ne s’arrêta pas, mais les tours moteurs diminuèrent significativement. Cependant, Paul et sont ami était tellement absorbé par cette lumière qu’ils n’ont pas fait plus attention au moteur.

Finalement, le Rare Form continua sa navigation et arriva au port sain et sauf. Ce témoignage étrange ne trouve aujourd’hui aucune explication rationnelle.

 

Un étrange nuage
entre l'île d'Andros et la Floride

Le 4 décembre 1970, Bruce Gernon Jr décolle d’Andros pour un vol à destination de la Floride. Peu après le décollage, il aperçoit devant lui un nuage elliptique. Ce phénomène lui sembla étrange, mais il décida de poursuivre son vol. Il était loin d’imaginer ce qui allait arriver ensuite. Aujourd’hui, son témoignage est le plus précis décrivant un phénomène inexpliqué dans le triangle des Bermudes.

Déjà 3 ans que Bruce et son père avait leur propre avion et volait dans le secteur des Bahamas. Ils avaient effectué une douzaine de vols au départ ou à destination de l’île d’Andros.

Le 4 décembre 1970, Bruce, son père et un associé décollèrent de l’aérodrome d’Andros à bord d’un Beechcraft Bonanza A36 tout neuf, et mirent le cap sur la Floride.

Peu après le décollage, Bruce remarqua un nuage elliptique à un peu plus d’un kilomètre devant eux. Le nuage flottait 150 mètres au-dessus de l’eau. C’est un nuage lenticulaire, comme on peut en voir près des reliefs. Mais c’est plutôt inhabituel d’en voir au-dessus de l’eau et aussi bas

Le contrôle aérien de Miami leur indiqua que la météo était bonne. Bruce poursuivit donc son vol, et le nuage lenticulaire se transforma petit à petit en un gros cumulus pour finir par envelopper complètement l’avion. Bruce continua de monter, et sortit du nuage 10 minutes plus tard à 3000 mètres d’altitude.

Il était maintenant temps de commencer la croisière : Bruce mit l’avion en palier et accéléra jusqu’à 195 kts (360 km/h). En regardant derrière lui, il s’aperçut que le nuage avait encore grossit et formait maintenant un immense demi-cercle. Le nuage s’étendait au loin et devait faire au moins 30 kilomètres de large. Après quelques minutes de vol, le nuage était trop loin pour être visible.

Peu après alors qu’il approchait des îles Bimini, Bruce aperçut un autre nuage devant lui. Il ressemblait beaucoup à celui qu’il venait de traverser, mais cette fois le nuage semblait partir du sol et monter jusqu’à 18000 mètres. Il pénétra dans le nuage : la visibilité se réduisit à 7 ou 8 kilomètres. L’environnement était sombre, mais il n’y avait pas d’éclair et pas de pluie. Quelques flashs blancs illuminaient les alentours de temps en temps. Bruce effectua un virage de 135° pour s’échapper, et réussit à sortir du nuage par le sud.

En voulant contourner le nuage, Bruce s’aperçut que le nuage continuait sur une courbe presque parfaite vers l’Est. Il était maintenant évident que le nuage d’Andros et celui de Bimini était les côtés opposés d’un même nuage en forme d’immense anneau. L’avion était pris au piège au milieu d’un anneau nuageux d’une cinquantaine de kilomètres de diamètre, et il n’y avait aucun moyen de passer au-dessus ou au-dessous.

Quelques minutes plus tard, Bruce vit une forme en U qui semblait s’ouvrir dans le nuage. Il n’avait pas le choix : il fallait sortir du piège très vite, et cette ouverture allait peut-être le permettre. Les occupants de l’avion n’étaient pas au bout de leurs surprises : en s’approchant de l’ouverture, ils remarquèrent qu’il s’agissait d’un tunnel parfaitement horizontal d’un peu plus d’un kilomètre de diamètre, et d’une quinzaine de kilomètres de long. En fait, le tunnel traversait le nuage, et le ciel bleu était même visible à l’autre bout. Bruce s’y engagea.

Pas de chance, à mesure qu’il avançait le tunnel se rétrécissait. Bruce augmenta le régime moteur pour accélérer alors que le tunnel ne faisait déjà plus que 80 mètres de diamètre. Plus surprenant encore : en quelques secondes, la longueur du tunnel s’était réduite pour atteindre à peine plus d’un kilomètre. Les bords du tunnel étaient faits de petits morceaux de nuages qui tournaient dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.

20 secondes plus tard seulement, l’avion sortait du tunnel. Pendant près de 5 secondes, Bruce eu la sensation d’être en 0g. En se retournant, il vit le tunnel s’effondrer.

 

Tous les instruments de navigation s’affolaient. Le compas tournait alors que l’avion volait droit. Bruce contacta le contrôle de Miami pour se signaler à 150 kilomètres au sud de Miami. Mais le contrôleur radar était incapable de le repérer dans cette zone.

L’environnement était étrange : tout était gris et brumeux. L’océan n’était même pas visible. La visibilité semblait n’être que de 3 ou 4 kilomètres. Bruce était probablement dans un de ces nuages électroniques parfois visibles dans le secteur. Il avait l'impression de voler avec le brouillard, et non à travers.

Le contrôle aérien re-contacta Bruce et l’informa qu’il venait de le repérer au-dessus des plages de Miami. Bruce regarda sa montre et vit qu’il ne volait que depuis 34 minutes. Il répondit au contrôle qu’il était plutôt dans le secteur de Bimini, et qu’il devait confondre avec un autre appareil.

Brusquement, le brouillard se dissipa aussi soudainement que bizarrement : de longues lignes horizontales apparurent dans la brume. Ces lignes de plusieurs kilomètres de long s’élargissaient, et le ciel bleu était visible au bout. 8 secondes plus tard, toutes ces lignes s’étaient rejointes et le brouillard disparut pour laisser place à un grand ciel bleu.


Bruce vit en dessous de lui les plages de Miami. Le contrôle ne s’était donc pas trompé. Il atterrit à Palm Beach et constata que le vol n’avait duré que 47 minutes. Normalement, le vol aurait du durer au moins 75 minutes. Sa montre n’était pas cassée puisque les montres des 3 occupants indiquaient la même heure : 15h48. L’avion a parcouru les 460 kilomètres du vol en seulement 47 minutes.

Conclusions

Jusqu'à maintenant, les enquêtes n'ont produit aucune évidence scientifique de l'implication de phénomènes inhabituels dans les disparitions.
Donc rien n'a pu être démontré ou prouvé.
Le mystère du triangle des Bermudes reste entier et pour l'instant inexpliqué.

 

 

 

 

 

 

Image du Blog unpeudhumour.centerblog.net

 



10/01/2012
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